Le Socialisme à visage humain

Le but d'une politique de gauche doit être l’évolution vers une économie socialiste. La crise écologique arrive à grands pas, il est urgent de mettre en œuvre un service après vente du capitalisme, pour limiter les catastrophes. Que sera ce socialisme ? Il ne faut pas reproduire les memes erreurs que dans le passé. Il faut que le socialisme respecte tous les droits humains et démocratiques. Une idée intéressante serait de créer une économie fondée sur l'autogestion ou democratie économique c'est à dire ou coopératives joueraient le role principale. Une telle idée à de nombreuses vertues. D'une part c'est une sorte d'économie de marché et elle évite les problèmes de l'économie planifiée. Ensuite elle responsabilise les travailleurs et leur offre le choix de leur environnement économique. C'est aussi une économie qui nivelle des inégalités sociales, par le haut. Socialisme et Démocratie doivent fonctionner ensemble.

Le capitalisme est un problème, c'est un système économique fondé sur la violence et les inégalités.

Penser le socialisme, c'est réfléchir aux trois familles de modèles socialistes, penser leur efficacité et chercher une économique plus humaine.

Un atout de la démocratie de débat serait de médiatiser ces débats et de faire intervenir des intellectuels, associatifs (comme ATTAC) ou des syndicalistes. Elle permet de libérer la parole étouffée par les grands groupes médiatiques. J'en espère une victoire intellectuelle du socialisme qui aboutirait à sa mise en œuvre.

Je souhaite que tout le monde fasse partie de la classe moyenne. On ne vous parle que très peu du revenu moyen. On vous parle du revenu médian, ce qui est très different. Si tout le monde touchait le revenu moyen en France, nous aurions tous environ 2300€/mois net.

Je suis un réformiste au sens de Jean Jaurès. C'est bien de préciser, c'est encore un de ces mots a la con qui change de sens au fil du temps et qui veut dire tout a fait autre chose.



A. Indroduction

« Sans la République, le Socialisme est impuissant, sans le Socialisme, la République est vide. » Jean Jaurès

Le capitalisme porte en lui de nombreux maux. C'est un système rapace, qui soumet les peuples et exploite ses richesses au profit de quelques uns. L'égalité n'est que juridique, elle n'est pas réelle et les disparités de revenus et de patrimoine sont extrèmement fortes, tant au niveau des nation qu'au niveau international. Dans certaines régions elle a comme corrolaire la pauvrété, et même la famine. C'est un systme chaotique, qui produit de nombreuses crises et conduit à un desastre écologique. Ce système, par sa vision de court terme, par son égoïsme, par le fait que les quelques uns qui en profient puissent se mettre à l'abrit et ont le pouvoir de freiner les politiques risque de conduire au pire. C'est un système qui dans certains pays est incapable de créer le plein emploi. Et en fin c'est un système de rapport de forces, d'une hierarchie économique qui peut avoir des conséquences politiques anti-démocratique. C'est un sytème qui demande de plus en plus de soumission du salarié à ses employeurs, la soumission des peuples à quelques riches oligarches. C'est un système qui met en œuvre des rapport fondés sur la violence économiques et la loi du plus fort.

Manifestation de Solidarność.

Mettre en cause le capitalisme est une chose, savoir où nous alons est une autre. Il faut construire progressivement une altérnance au capitalisme pour que celui-ci soit plus stable et plus efficace. Il faut savoir conquerir l'adhésion des citoyens et apprendre de nos reussites et erreurs. Il faut débatre de la direction prise, montrer l'objectif que l'on s'assigne. Il faut savoir quel socialisme nous vonlons. C'est un objectif de moyen terme, mis en œuvre progressivement, dépassant le cadre d'un mandat présidentiel ou d'une législature.

Je m'inspirerais beaucoup tout au long de cette page de Tony Andréani, intellectuel français et auteur de « Le socialisme est (a)venir ». Ma page est une vulgarisation de son œuvre. Il a su me convaicre par sa rigueur, son sens critique et la pertiance de ces idées.

Tous ensemble !

Le socialisme a pour objectif une dimention sociale et une distibution égalitaire des revenus. Il existe trois grandes familles de modèles économiques socialistes, avec des variantes et qui peuvent s'entre couper. Le premier est le modèle de planification totale, qui constiste en un plan directeur centralisé, c'est le seul qui a été désastreux. Toute l'économie était planifié dans les moindres détails dans un laps de temps, cinq ans pour l'URSS. Ces plans était contraignant. Il a existé dans presque tout les pays du bloc de l'est et a completement échoué. Mais c'est le seul qui a échoué. Nous pouvons malgres tout rentenir un plan incitatif souple, pour notament aborder les problèmes écologiques. La deuxième famille de modèle est celui du socialisme de marché. Il s'agit d'une économie fondée sur des entreprises d'Etat largement autonomes et l'Etat se charge de redistribuer les revenus. Suite aux reformes, c'est le modèle qui existe actuellement en Chine continentale et au Vietnam. Il n'empêche pas ces pays de créer un boom économique. Mais cette famille de modèles n'est-elle pas une forme de capialisme d'Etat avec une redistribution égalitaire des revenus ? Certains maux du capitalisme sont quant même gardés. La dernière famille de modèles est celle de la démocratie d'entreprise. Il s'agit de salariés qui se prennent en charge et qui élisent leur dirigents. Il s'agit d'un modèle proche du socialisme associatif ou d'autogestion. Toutefois je ne suis pas d'accord avec la disparition de toute hiérarchie. Elle doit être élue et exister même si des formes de démocratie direct peuvent exister en entreprise et en politique. La disparition de l'Etat est utopique et donc irréalisable, il doit être démocratique. Le socialisme associatif a eu quelques réalisation ponctuelles en Espagne (pendant la guerre civile) et en Amerique du Sud. Il a surtout existé sur le long terme en Yougoslavie entre les années 50 et 70. Ce pays a reussi à monter à la deuxième place en terme de taux de croissance derrière le Japon. Nous constatons que le Japon avait une politique d'exportations massives. C'est donc un succès même si Tony Andréani montre qu'il peut être amélioré. Je retiendrais en grande partie cette dernière famille de modèles. Il montera que si les trois modèles l'acces aux investissements et aux capitaux (n'oublions pas les graves crises financières que nous avons actuellement) serait un point faible par rapport au capitalisme, ils peuvent avoir des qualités qui dépasseraient le capitalisme sur le plan économique.

Le socialisme et le démocratie se complettent. Vis à vis de ceux qui ont une vision autoritaire du socialisme, il faut que nous sachions argumenter. Et il faut que nous sachions leur montrer que cela fonctionne et que c'est mieux ainsi.















La police s'affiche aux beaux arts, les beaux arts affichent dans la rue


Mai 68 - Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent. Et vive le MLF !


I. Droits humains : USA vs Cuba

La déclaration des droits humains de l'ONU qui a été adopté à Paris au Palais de Chaillot en 1948, est la référence en terme d'humaniste. Si nous comparons les États-Unis et Cuba nous pouvons constater que la situation n'est pas aussi tranché, qu'elle semble être. Bien sûr tous les droits humains doivent être respectés, mais nous pouvons constater que ces deux pays en respectent certains articles et ignorent d'autres. Les USA respectent plutôt les droits politiques alors que Cuba respecte plutôt les droits sociaux, que les États-Unis occultent et bafouent. Il n'y a pas de raison à cela. Même en termes de droits politiques, les États-Unis ne sont pas aussi idylliques que cela parait. Si les deux pays appliquent la peine de mort, l'age minimum à Cuba est de 20 ans, alors qu'aux États-Unis elle n'est pas précisé, dépend des États et peut permettre d'exécuter des adolescents. De plus et avec la peine de mort comme condition aggravante, la justice US commet des grosses bourdes et peut maintenir en prison des personnes pouvant être innocentes. Le cas des cinq cubains (Antonio Guerrero, Fernando Gonzalez, Gerardo Hernandez, Ramon Labañino et René Gonzalez) est un exemple type où le procès problématique, qualifié d'injuste par Amnesty International, des personnes comme ceux-ci ne peuvent être maintenus en détention. Amnesty International ne reporte aucun cas de torture à Cuba, alors cela a été fait par CIA. Même sur les droits politiques, les USA ne sont pas aussi idyllique qu'il veulent le croire. Politiquement leur attitude vis à vis de Cuba, avec l’embargo est totalement arbitraire, et n'ont aucun problème de soutenir des régimes totalement sanguinaires. Je souhaite que l'Union Européenne répare cette injustice avec une aide économique qui encouragerait les changements démocratiques. Je souhaite rappeler quelques articles sociaux de la déclaration des droits humains et rappeler que tous les droits sont importants :

Article 14
1. Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l'asile en d'autres pays.

Article 22
Alexander Dubček - Václav Havel
Toute personne, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale ; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l'effort national et à la coopération internationale, compte tenu de l'organisation et des ressources de chaque pays.

Article 23


1. Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. 2. Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal. 3. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale. 4. Toute personne a le droit de fonder avec d'autres des syndicats et de s'affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.

Article 25
Les filles sages vont au paradis, les autres vont où elles veullent.
1. Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté. 2. La maternité et l'enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales. Tous les enfants, qu'ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.

Article 26
1. Toute personne a droit à l'éducation. L'éducation doit être gratuite, au moins en ce qui concerne l'enseignement élémentaire et fondamental. L'enseignement élémentaire est obligatoire. L'enseignement technique et professionnel doit être généralisé ; l'accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leur mérite. 2. L'éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l'amitié entre toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix. 3. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants.

Article 27
1. Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent. 2. Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l'auteur.

Article 28
Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.

A. Indroduction

« Sans la République, le Socialisme est impuissant, sans le Socialisme, la République est vide. » Jean Jaurès

Le capitalisme porte en lui de nombreux maux. C'est un système rapace, qui soumet les peuples et exploite ses richesses au profit de quelques uns. L'égalité n'est que juridique, elle n'est pas réelle et les disparités de revenus et de patrimoine sont extrèmement fortes, tant au niveau des nation qu'au niveau international. Dans certaines régions elle a comme corrolaire la pauvrété, et même la famine. C'est un systme chaotique, qui produit de nombreuses crises et conduit à un desastre écologique. Ce système, par sa vision de court terme, par son égoïsme, par le fait que les quelques uns qui en profient puissent se mettre à l'abrit et ont le pouvoir de freiner les politiques risque de conduire au pire. C'est un système qui dans certains pays est incapable de créer le plein emploi. Et en fin c'est un système de rapport de forces, d'une hierarchie économique qui peut avoir des conséquences politiques anti-démocratique. C'est un sytème qui demande de plus en plus de soumission du salarié à ses employeurs, la soumission des peuples à quelques riches oligarches. C'est un système qui met en œuvre des rapport fondés sur la violence économiques et la loi du plus fort.

Mettre en cause le capitalisme est une chose, savoir où nous alons est une autre. Il faut construire progressivement une altérnance au capitalisme pour que celui-ci soit plus stable et plus efficace. Il faut savoir conquerir l'adhésion des citoyens et apprendre de nos reussites et erreurs. Il faut débatre de la direction prise, montrer l'objectif que l'on s'assigne. Il faut savoir quel socialisme nous vonlons. C'est un objectif de moyen terme, mis en œuvre progressivement, dépassant le cadre d'un mandat présidentiel ou d'une législature.

Je m'inspirerais beaucoup tout au long de cette page de Tony Andréani, intellectuel français et auteur de « Le socialisme est (a)venir ». Ma page est une vulgarisation de son œuvre. Il a su me convaicre par sa rigueur, son sens critique et la pertiance de ces idées.

Le socialisme a pour objectif une dimention sociale et une distibution égalitaire des revenus. Il existe trois grandes familles de modèles économiques socialistes, avec des variantes et qui peuvent s'entre couper. Le premier est le modèle de planification totale, qui constiste en un plan directeur centralisé, c'est le seul qui a été désastreux. Toute l'économie était planifié dans les moindres détails dans un laps de temps, cinq ans pour l'URSS. Ces plans était contraignant. Il a existé dans presque tout les pays du bloc de l'est et a completement échoué. Mais c'est le seul qui a échoué. Nous pouvons malgres tout rentenir un plan incitatif souple, pour notament aborder les problèmes écologiques. La deuxième famille de modèle est celui du socialisme de marché. Il s'agit d'une économie fondée sur des entreprises d'Etat largement autonomes et l'Etat se charge de redistribuer les revenus. Suite aux reformes, c'est le modèle qui existe actuellement en Chine continentale et au Vietnam. Il n'empêche pas ces pays de créer un boom économique. Mais cette famille de modèles n'est-elle pas une forme de capialisme d'Etat avec une redistribution égalitaire des revenus ? Certains maux du capitalisme sont quant même gardés. La dernière famille de modèles est celle de la démocratie d'entreprise. Il s'agit de salariés qui se prennent en charge et qui élisent leur dirigents. Il s'agit d'un modèle proche du socialisme associatif ou d'autogestion. Toutefois je ne suis pas d'accord avec la disparition de toute hiérarchie. Elle doit être élue et exister même si des formes de démocratie direct peuvent exister en entreprise et en politique. La disparition de l'Etat est utopique et donc irréalisable, il doit être démocratique. Le socialisme associatif a eu quelques réalisation ponctuelles en Espagne (pendant la guerre civile) et en Amerique du Sud. Il a surtout existé sur le long terme en Yougoslavie entre les années 50 et 70. Ce pays a reussi à monter à la deuxième place en terme de taux de croissance derrière le Japon. Nous constatons que le Japon avait une politique d'exportations massives. C'est donc un succès même si Tony Andréani montre qu'il peut être amélioré. Je retiendrais en grande partie cette dernière famille de modèles. Il montera que si les trois modèles l'acces aux investissements et aux capitaux (n'oublions pas les graves crises financières que nous avons actuellement) serait un point faible par rapport au capitalisme, ils peuvent avoir des qualités qui dépasseraient le capitalisme sur le plan économique.

Le socialisme et le démocratie se complettent. Vis à vis de ceux qui ont une vision autoritaire du socialisme, il faut que nous sachions argumenter. Et il faut que nous sachions leur montrer que cela fonctionne et que c'est mieux ainsi.

B. L'économie planifiée, un désastre !

Le socialisme a la répuation de ne pas fonctionner. En réalité il s'agit de la famille de modèles d'économie planifiées. D'autres familles de modèles existent et ont données des résultats. Certains modèles n'ont même pas eu de réalistion pratiques et n'ont d'evaluation autre que théoriques. L'économie planifiée était le système quasi unique du bloc de l'est. L'exception était le Yougolsavie et la Chine continentale et le Vietnam l'ont réformé vers le socialisme de marché. Les modèles autogestionaires et de socialisme de marché ont montré qu'ils ne sont pas inefficaces, l'économie planifié c'est le contraire.

C. Écologie, Capitalisme et Socialisme

« Les hommes doivent, partout dans le monde, reconnaître leur appartenance au genre humain, avec l’ensemble des droits et des devoirs qui découlent de cette idée. » Mikhaïl Gorbatchev

Le capitalisme est-il compatible avec l'écologie ? Un grand doute se pose ! Il existe une contradiction entre la volontée politique, qui voudrait limiter la destruction environnementale et les intérêts de certaines entreprises qui pour des raisons de profits voudraient passer outre. Si dans l'économie planifiée l'Etat contraingnait les entreprises à suivre une logique strictement politique, le problème est inverse dans l'Etat capitaliste. Les entreprises influencent l'Etat autour des politiques strictement économiques. C'est grâce au lobbying, aux partis sensibles à leurs intérêts, et leur impact sur les médias, qu'ils y parviennent. Leur influence sur les États-Unis est particulièrement dramatique. Ils essayent de mettre les réprésentants dans leur poche et intoxient les citoyens. Dans les médias, et c'est particulièrement vrais au États-Unis, le négationnisme climatique est mis en avant. Or ce doute sur le déréglement du climat à été écarté par les scientifiques, cette position est obscelète et n'a plus de réalité intellectuelle. Les conscéquences au niveau internationnal est grande. Alors que les États-Unis, mais l'Europe n'est pas si bien que ça, est un pays riche, qui a beaucoup polué dans le passé, ne font que très peu d'efforts, commant voulez vous que des pays comme l'Inde ou la Chine qui sont des pays pauvres et qui ont peu polué en font plus ? Cela pose un vrai problème diplomatique, si les États-Unis et l'Europe ne montrent pas l'exemple, les autres pays, qui devraient s'y soumettre, ne seraient-ils pas des pigeons dans l'histoire ? Nous avons donc une réelle soumission, ou démission des États envers la logique d'entreprise, et ses concéquences sur l'écologie. Le capitalisme et sa logique de profits au dessus de tout, risque bien de provoquer de grâves désastres écologiques. Nous devons penser, au plus tôt, à un service après vente à ce système, pour préserver au mieux notre planête ou ce qui en restera. Malheuresement je pense qu'il faudra attendre le désastre, pour que le capitalisme soit réellement mis en cause. Evidemment le capitalisme fera face à ses responsabilités, mais je ne vois pas l'intérêt de prendre ce risque.

D. L'exploitation de la misère par les multinationales.

« Sur notre planète, comme sur un jeu d’échecs, les cases blanches de la prospérité jouxtent les cases noires du malheur. » Mikhaïl Gorbatchev

D. L'entreprise capitaliste, un fonctionnement anti-démocratique

E. Pourquoi le socialisme ?

Le socialisme à pour but émancipation humaine, c'est « l'humain d’abord ». La question de l'égalité réelle est un point important. Les injustices économiques sont le départ de la domination de classe et des violences économiques qui en découlent. Le salarié est exploité au travail et perd une partie du fruit de celui-ci. C'est le profit que touche la classe des propriétaires et crée les inégalités. Pour contrer ce problème il faut un autre système économique avec peu de différences de revenu. C'est donc une classe moyenne unique que nous voulons construire. Le SDF est donné un logement et un revenu et devient un membre de cette classe, les plus riches aussi. Nous savons bien que cela n'embête pas les plus fortunés. Ce sont des gens sympathiques, souriants, qui ont une bonne image et qui font des cadeaux à tout le monde.

Comment allons nous y prendre ? Nous allons débattre expliquer nos idées. Et si effectivement nous avons Raison les citoyens voteront pour nous. Il faut mettre en oeuvre les réformes progressivement car cela ne se fait pas du jour au lendemain. Et nous souhaitons une ligne politique stable dans le temps. Le capitalisme sera réellement mis en cause quant les problèmes écologiques se feront sentir. Je doute que capitalisme et écologie soient compatible et un SAV sera nécessaire.

F. Quel model choisir ?

G. Socialisme et Europe

D'une part l'Europe doit accérrir une certaine cohérence et d'autre part laisser une large autonomie à ses peuples. Cela implique que les peuples pouraient choisir leur système économique, socialiste par exemple, tout en cohérence avec l'Union Européenne. Nous en sommes affreusement loin. Nous devons créer une réelle démocratie parlementaire fédérale européenne fondée sur les parlements européen et nationaux. C'est un droit fédéral de chaque peuple d'Europe de pouvoir choisir son système économique, alors que l'Europe doit garentir une cohérence commune, la plus souple possible.

Le fonctionnement de Union Européenne est une grâve entrave vers le socialisme et est fondamentalement anti-démocratique.

H. Socialisme et Démocratie de Débat

La démocratie de débat ne serait pas seulement un grand progrès démocratique, mais c'est une première étape vers le socialisme. Les idées socialismes sont entravées par l'abrutissement et d'avilissement au liberalisme, elles ont du mal à s'exprimer. Donner la parole au peuple, c'est briser cette entrave, c'est laisser des intellectuels, associatifs et syndicalistes s'exprimer. Cela crée le débat et je pense que le socialisme s'imposera par sa supériorité morale. Il faut convaincre l'opinion publique, gagner la bataille des idées sur le plan intellectuel, pour briser le capitalisme. C'est le seul moyen de créer un système stable. De plus grâce aux débats et au succès et échecs des réformes, les idées vont s'affiner et le socialisme qui en débouchera n'en sera que meilleur.

I. Droits humains : USA vs Cuba

La déclaration des droits humains de l'ONU qui a été adopté à Paris au Palais de Chaillot en 1948, est la référence en terme d'humaniste. Si nous comparons les États-Unis et Cuba nous pouvons constater que la situation n'est pas aussi tranché, qu'elle semble être. Bien sûr tous les droits humains doivent être respectés, mais nous pouvons constater que ces deux pays en respectent certains articles et ignorent d'autres. Les USA respectent plutôt les droits politiques alors que Cuba respecte plutôt les droits sociaux, que les États-Unis occultent et bafouent. Il n'y a pas de raison à cela. Même en termes de droits politiques, les États-Unis ne sont pas aussi idylliques que cela parait. Si les deux pays appliquent la peine de mort, l'age minimum à Cuba est de 20 ans, alors qu'aux États-Unis elle n'est pas précisé, dépend des États et peut permettre d'exécuter des adolescents. De plus et avec la peine de mort comme condition aggravante, la justice US commet des grosses bourdes et peut maintenir en prison des personnes pouvant être innocentes. Le cas des cinq cubains (Antonio Guerrero, Fernando Gonzalez, Gerardo Hernandez, Ramon Labañino et René Gonzalez) est un exemple type où le procès problématique, qualifié d'injuste par Amnesty International, des personnes comme ceux-ci ne peuvent être maintenus en détention. Amnesty International ne reporte aucun cas de torture à Cuba, alors cela a été fait par CIA. Même sur les droits politiques, les USA ne sont pas aussi idyllique qu'il veulent le croire. Politiquement leur attitude vis à vis de Cuba, avec l’embargo est totalement arbitraire, et n'ont aucun problème de soutenir des régimes totalement sanguinaires. Je souhaite que l'Union Européenne répare cette injustice avec une aide économique qui encouragerait les changements démocratiques. Je souhaite rappeler quelques articles sociaux de la déclaration des droits humains et rappeler que tous les droits sont importants :

Article 14
1. Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l'asile en d'autres pays.

Article 22
Toute personne, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale ; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l'effort national et à la coopération internationale, compte tenu de l'organisation et des ressources de chaque pays.

Article 23
1. Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. 2. Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal. 3. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale. 4. Toute personne a le droit de fonder avec d'autres des syndicats et de s'affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.

Article 25
1. Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté. 2. La maternité et l'enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales. Tous les enfants, qu'ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.

Article 26
1. Toute personne a droit à l'éducation. L'éducation doit être gratuite, au moins en ce qui concerne l'enseignement élémentaire et fondamental. L'enseignement élémentaire est obligatoire. L'enseignement technique et professionnel doit être généralisé ; l'accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leur mérite. 2. L'éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l'amitié entre toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix. 3. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants.

Article 27
1. Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent. 2. Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l'auteur.

Article 28
Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.

I. Conclution

I. Conclution

I. Conclution

Je suis un optimiste. Je pense que l'humanité évolue progressivement vers plus d'humanisme et de progrès démocratique. Et finira par créer la démocratie idéale. Celsi sera très probablement socialiste. Ce mouvement, magrés des retours en arrière, est une force de progrès social. Je pense aussi que l'humanité saura éviter le désastre écologique vers lequel il s'avance. La première etape sera sans doute la mise en place de la démocratie de débat. Ce sont de nouveaux droits, une démocratie qui marche mieux. Face à cette menace écologique les hommes et les femmes se tourneront vers le socialisme, qui est plus à même de réagir. Espérons qu'ils éviteront le pire. Si la nation doit subsister, sont identité nationale s'exprimera par la culture et le sport. Chaque peuple doit conserver sa propre culture, qui naturellement évolue. Les conflits armés s'epuiseront et les peuples créeront de nouveau liens par la culture et le sport. La culture et le sport remplaceront les conflits et les guerres. Ces nations démocratiques coopéreront et construiront des vesseaux spaciaux et iront coloniser la galaxie. Voici ma vision de l'avenir. J'espère que le futur ne me fera pas paraitre naïf.

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Dernière modification le vendredi 04 septembre 2020 à 19H49