l'Europe et la question de l'autonomie

Je me déclare autonomiste européen. L'Europe n'est pas démocratique, les peuples sont dépossédés de leur vote, l'expression de leur volonté générale n'a pas lieu. Je suis un autonomiste, ni un fédéraliste, ni un souverainiste avec les quels je souhaite un compromis institutionnel, autour de mes idées, le projet autonomiste. Il est important de garantir une large autonomie aux peuples, et des procédures constitutionnelles doivent être prévus. C'est le cas aux États Unis, je ne comprends pas pourquoi ce n'est pas le cas en Europe. Un États qui veut garantir l'avortement, n'est pas embêté par l’État truc ou bidule qui veux faire le contraire et qui bloquent tout au niveau fédéral. Ceci n'existe qu'en Europe. Je pense qu'il est important que les peuples, par l'intermédiaire de leur représentation nationales (parlement nationaux), aient des droits (individuel et collectifs). Cela s'appelle le normalement fédéralisme ! C'est quoi cet centralisme autoritaire qui n’est qu’un fédéralisme de pacotille. Ceux qui gouvernent l'Europe sont des pseudos fédéralistes-jacobins ! Si un peuple ne peut disposer d'un droit de blocage à lui tout seul, ce qui est un point capital, il doit pouvoir être sérieusement écouté et pouvoir sérieusement donner son avis, ce qui est aussi un point capital. Un veto et des droits bloquants collectifs viennent garantir ce principe aux parlements nationaux. Alors que les droits individuels donne à ces parlements le droit de réellement infléchir les directives. Il s’agit d'un véritable régime parlementaire bicaméral pour l'Europe avec l'assemblée européenne et une assemblée des peuples (parlements nationaux) comme centre de pouvoir. Ensemble, ce nouveau parlement élira et contrôlera la commission. Cela présente de nombreux avantages. Chaque peuple est écouté et son avis pris compte. Ce régime favorise le compromis entre peuples. L'Europe se concentre sur son dénominateur commun, ce qui comprend l'Europe sociale et écologique. Je suis un vrai démocrate, c'est à dire que je ne me limite pas au carcan imposé par le parti médiatique.

C'est en prennent le pouvoir en Europe, que les peuples sortiront définitivement de la crise et de l’austérité, et mettront l'Europe sociale et écologique en pratique. Les peuples doivent prendre le pouvoir à la dictature financière et faire de la fédération Européenne (on l’appellera comme on voudra), l'expression de leur volonté générale.

Qu'est-ce que ces technocrates ont à tout libéraliser et à tout homogénéiser ? Laissons les peuples s'exprimer. Apprenons à nous connaître, montrons nos différences, nos cultures, notre histoire. Et bien sur il y a une base commune. Les principales valeurs communes sont la démocratie, la sociale et l'écologique. L'autonomie ou principe de subsidiarité, doit l'emporter sur les projets communs répondants au principe de complémentarité. Ces derniers doivent se justifier, et bénéficier de bons arguments, pour être mis en place. Mais alors si l'assemblée européenne se met a vouloir tout homogénéiser comme ça, s'il ne respecte pas sérieusement le droit d'infléchir par les nations de ses directives. Il va fâcher les parlements nationaux. Et si trop de députés sont fâchés, il se prendra un veto dans la figure. Mais qu'est-ce qu'il va prendre comme veto dans la tronche avant de respecter les parlements nationaux et faire les choses correctement !

J'ai une certaine idée de la France. La France, fille des lumières doit assumer sa vocation démocratique et humaniste. Il en va de la grandeur de la France, pour la quelle nous devons être exemplaire. L'autonomisme européen fait partie de ce message et vocation français, en répondants au carences démocratique et aux viols de l'autonomie des États membre, par cette petite bande de diplomates et de technocrates sans aucune légitimité populaire. Moi par exemple je n'ai pas voté Merkel. Son mandat n'est de toute façon pas européen. Pourquoi dois-je la subir ?

Je ne veux pas chipoter mais pour certains un régime parlementaire serait instable. Forcement, c'est le niveau mental de nos médias. Forcement, ce n'est pas le but et il existe des moyens de l'éviter. Même si cela reste un moindre mal.

Il faut une large autonomie en Europe. Pourquoi l'Europe vient nous embêter avec nos régions. Qu'est-ce que l'Europe vient les trifouiller ? Respectez nos départements. Respectez notre autonomie dans en tant qu'États membre, nous respecterons la votre ! Vive la France, Vive la République.

La directive 86/609 est une directive européenne scélérate. Elle empêche des États membres de réglementer l'expérimentation animale par les laboratoires. C'est aussi une atteinte à l'autonomie des États membres, car elle ne se justifie pas au niveau européen. Je propose que l'assemblée nationale adresse au parlement européen une demande d'abrogation. Ceci est un putch démocratique. Nous pouvons négotier un traité-constitutionel qui devra être impérativement accepté par réferendum. Celui-ci accorerait immédiatement de nouveaux droits aux parlements nationaux en lien avec l'assemblée européenne(ou parlement européen selon la cas) et la basculement vers une fédération européenne se fera quant tous les pays l'ont adoptés, sans délais de temps. Bien sur il faut pas n'importe quoi comme traité-constitutionnel, il ne doit pas comprendre de dimension économique, une constitution ça se modifie, et doit faire l'objet d'un concensus le plus large possible. Il faut imposer un délais de réflexion d'au moins un an avant les référendum nationaux et il doit être ratifié par le l'assemblée européenne et la commission.

L'autérité dévoile les déficiences démocratiques et fédérales de l'Europe. Des réformes qui sont fait pour durer permettront enfin d'y mettre fin.



a. Introduction

« C'est par la liberté et par l'ampleur croissante des échanges que se réalisera peu à peu l'unité humaine. » Jean Jaurès

L’Europe ne saurait être gouvernée par le bal des diplomates, ni gérée par un centralisme autoritaire qui n’est qu’un fédéralisme de pacotille. Ceux qui gouvernent l'Europe sont des pseudos fédéralistes-jacobins, des technocrates ! L'Europe ne doit plus soumettre ses peuples à la dictature financière et leur politiques d'austerités ! Où est l'expression générale de la vonlontés des peuples d'Europe ? L'identité de l'Europe n'est elle pas la mise en commun des identité des peuples qui la composent, à la fois différente et ayant des points communs ? A la fois l'Europe piétine leur autonomie et discredite leur volonté d'avancer ensemble. Les banques et grandes entreprises en profitent et ont pris le pouvoir. Nous peuples d'Europe, nous disons stop, nous voulons une véritable démocratie fédérale qui nous respecte et mettre en place une Europe sociale. Nous voulons mettre au pas la dictature des marchés. Nous ne voulons plus être dépossédé de nos choix. Des bouffons ont imposé les critères de Copenhague aux Etats membres mais bêtement l'Europe ne respecte pas ces critères. Il est temps que les peuples se reveillent et établissent une veritable démocratie européenne. C'est quoi cette volonté de tout homogéniser ? Va t'on en plus nous faire apprendre l'esperento ? L'Europe ne peut se faire en bafouant ses peuples. Ce sera par les peuples autonomes d'Europe, représentés par leurs parlements nationaux et européen, qu'une solution à la crise sera trouvée.

Le cadre démocratique est avant tout un cadre national mais nous avons une base commune. C'est pour cela que nous voulons une large autonomie, qui se fasse de la manière la plus démocratique qui soit, la voie parlementaire. Les nations doivent être au cœurs des institutions européennes par l'intermédiaire de leurs parlements nationaux. Il nous faut donc une chambre haute, l'assemblée des peuples, qui sera la mise en commun des parlements nationaux qui avec l'assemblée euopéenne sera le cœurs d'un régime parlementaire bicaméral. Les parlements nationaux auront des droits individuels et collectifs de manière à infléchir les directives, sans blocages national, mais de manière à imposer collectivement le respect. Mais allors qu'est-ce que l'assemblée européenne va prendre comme veto dans la figure !

Je suis un autonomiste, ni fédéraliste, ni souverainistes. Je pense que garantir une large autonomie est importante et je parles bien d'autonomie dans une Europe fédérale. Je souhaite un compromis autonomiste avec ceux-ci et les souverainistes. Si nous devons en finir avec les blocages nationaux, chaque peuple doit pouvoir donner son avis, qui sera sérieusement prit en compte par le parlement européen. L'autonomie des États membres doivent être large et garantie. Cela concerne le budget, évidemment. Nous assistons à une mise au pas de pays comme la Grèce et l'Italie à la dictature financière. C'est une violation des droits démocratiques les plus élémentaires. L’Union Européenne doit se concentrer sur son dénominateur commun, qui inclut les droits sociaux. Je propose un régime parlementaire à deux chambres, qui élit et contrôle la commission. L’Europe doit être véritablement l'expression de la volonté générale de ses peuples et chaque peuple doit pouvoir exprimer sa volonté et être sérieusement écouté au sein des institutions européennes. Les droits bloquants, ne peuvent être que collectifs, viennent cautionner cette logique, et apportent le respect nécessaire aux parlements nationaux.


b. Les problèmes de l'Union Européenne

« Chapelier constata que l'insuffisance des salaires était une sorte d'esclavage. » Jean Jaurès

L’idée démocratique, exprimée par le suffrage universel est aujourd’hui une idée nationale. Un citoyen ne sent pas comme faisant partie de l’opinion publique européenne, mais se sent comme membre de son pays. Il a l’impression que les prises de décision, même ceux issus du suffrage universel européen, lui échappent. Il faut une forme de légitimité nationale au sein des institutions européennes, c'est ce que nous nommons le fédéralisme. Cette légitimité est très difficile à trouver, en omettant les peuples, directement au niveau européen. C'est ce qui se passe aujourd'hui et c'est très regrettable. Nos cultures, nos traditions, nos histoires sont trop différentes pour être noyés dans un moule commun.

La manière dont se déroulent les élections au parlement européen posent problème. Après l'élection, les médias se détournent des députés. Ce qui veut dire que nous leur donnons une carte blanche, et parfois ils font le contraire de ce qu'ils ont promis. Aucun jugement n'est fait sur les députés que nous élisons. Un autre problème est que ces élections sont faites par rapport à des enjeux nationaux et non européen. Chez certains, nous trouvons une soumission au libéralisme, qui n'est pas toujours perçu comme suspect dans une élection nationale, car il s'agit d'une soumission au libéralisme mondial et européen. Au niveau européen, il n'y a plus de doute, c'est une escroquerie. Ce sont les libéraux et les xénophobes qui tirent profit de cette situation, car paradoxalement, ils profitent des problèmes liés à la mondialisation et au libéralisme. C'est à dire des problèmes qu'ils créent eux-mêmes. J'ai l'impression que les pyromanes, sont les premiers à profiter de l'incendie. Cette situation est aussi liée à la médiocrité de information, qui vis à vis de l'Europe est pathétique. C'est toute une mécanique anti-démocratique contre laquelle il faut lutter.

Le prochain problème concerne le poids des diplomates et des gouvernement dont le mandat est national et ne dispose pas de la légitimité nécessaire. Il est par exemple plus facile de baisser les normes sociales, due au dumping social, que de les monter. Les projets dépendent d'un rapport de force diplomatique, favorise et défavorise certains pays. Ce rapport de force profite aux libéraux contre le social. Sans entente le social vit difficilement. Le libéralisme est plus facile. L'impuissance de l'Europe, n'est qu'une conséquence de ces rapports de force diplomatiques. C'est elle qui impose la technocratie contre la démocratie et met en œuvre des mécanismes injustes.

Avec 43,1% des inscrits qui votent aux européennes, le problème est palpable. Les citoyens se sentent déposséder de leur vote, de l'expression de leur volonté générale. Cette Europe les dépassent. Le problème est aussi bien son autoritarisme libéral que sa faiblesse politique, sa difficultés à prendre des décisions. Le tournant libéral, les délocalisations, le dumping social, les politiques d’austérité sont avant tout des choix politiques. La toute puissance des milieux financiers, est la conséquence du laisser faire, voire du soutient, des responsables européens majoritaires. C'est en donnant le pouvoir à ses peuples, que l'Europe sortira de la crise, et jugera ses banquiers-voyous.


c. Identité nationale et l'Europe

« Il est bien vrai que la beauté de la science et de l'art est consolatrice. » Jean Jaurès

L'identité nationale doit reposer sur la culture et l'histoire. Se sont les seul moyens de créer le sentiment d'unité tout en refusant la xénophobie, pensée stérile et néfaste. C'est une pensée génératrice d'injustices et est déshumanisante. Par la culture et l'histoire nous devons exprimer notre attachement aux valeurs de la Démocratie et à notre République. L'Europe ne doit pas étouffer et casser les identités de ses peuples, mais au contraire favoriser et encourager les échanges culturelles. Elle doit aider l'identité de ses peuples de s'exprimer car ces échanges culturelles créent l'idée d'une communauté européenne entre peuples différents, coopérants et ayant des points communs. Seul une Europe réellement fédérale peut symboliser une telle idée, ce dont nous somme catastrophiquement loin. L'art et la culture ont été des éléments déterminants dans l'histoire de tous les peuples. Comment ne pas reconnaître aux bâtisseurs de pyramides, un rôle essentiel dans l'identité du peuples égyptien, au travers des millénaire et au niveau planétaire ? C'est une telle politique qu'il faut encourager. La France est parfaitement capable de construire des tours plus hautes que celle Dubaï. Comment nier le rôle de la tour Eiffel, construite pour le centenaire de la prise de la Bastille, dans l'identité nationale ? C'est grâce à une identité nationale forte, et avec une confiance en nous, que nous irons vers les autres peuples et cultures. Pourquoi la France des guinguettes et des accordéons aurait-elle peur du flamenco ? Au contraire, ces échanges sont des enrichissements ! La vraie menace vient de la culture hamburger de bas niveau et d'une homogénéisation mondiale. Il n'y aucune valeur ou de richesse chez elles. Il s'agit d'un encouragement à la consommation à outrance, à bas prix, dans une logique consumériste.

L'autre composante de l'identité nationale est la recherche de nos racines historiques. L'une des sources historique, et fondement de l'union européenne est le refus des guerres qui nous ont déchirés au cours des sciècles. C'est la volonté de vivre en paix et en démocratie. Cela devrait justifier que l'union européenne devienne une vraie démocratie fédérale. Ces deux composantes de ce que nous sommes, peuvent évidamment trouver un moyen d'expression privilégié, dans la démocratie de débat. L'Union Européenne ne doit plus tirer contre ces peuples et doit prendre et promouvoir l'identité de ceux-ci, dans une logique d'échanges. C'est quoi cette Europe ? Il ne manquerait plus qu'ils nous fassent apprendre l'esperanto et nous abreuve de coca ! Une politique favorable aux identités nationales et aux échanges est une question d'équilibre, l'Europe est une communauté de peuples.


d. Une solution démocratique, parlementaire et fédérale

« C'est en allant vers la mer que le fleuve reste fidèle à sa source. » Jean Jaurès

Pour rendre la souveraineté des peuples d'Europe face aux dictacts des marchés financiers et du grand capital, il faut une union politique. Les principes démocratiques et fédérales de cette union sont absolument indispensables. Seul une fédération européenne est capable de résister à l'alienation des peuples d'Europe, de leurs cultures, de leurs identités, de leurs droits sociaux, par les puissances de l'argent.

Je propose un régime parlementaire à deux chambres : l'assemblée européenne et l'assemblée des peuples. La première assemblée est l'assemblée unique du parlement européen actuel. Cette deuxième assemblée n'est rien d'autre que la mise en commun des parlements nationaux. Chaque parlement national, représentant son peuple, disposerait d'un certain nombre de droits, et s'adresserait à l'assemblée européenne. D'une par si une directive déplaît à un parlement national, celui-ci disposerait d'un certain nombre de recours. En premier lieu il aura le droit de proposer des amendements. Ensuite il pourrait imposer un deuxième vote si son hostilité est suffisamment grande. Et en dernier l'ensemble des parlements nationaux, c'est à dire l'assemblée des peuples, disposerait d'un droit de veto. Il est inacceptable qu'une nation disposasse d'un droit de veto, qui nuirait gravement à la cohérence des institutions. Ce droit ne serait que détenu par l'ensemble des parlements nationaux au niveau européen. Les parlements nationaux pourraient aussi proposer des projets de directives à l'assemblée européenne.

La commission serait élue et serait responsable devant ce nouveau parlement européen, composée de deux chambres. Ce parlement pourrait révoquer chaque commissaire en cas de desaccord. Évidemment la banque européenne sera sous l'autorité d'un commissaire européen.

Un tel régime parlementaire comporte de nombreux avantages. Tout le monde peut s'exprimer, être entendu et influencer les décisions, ce qui est un facteur d'apaisement. Les citoyens peuvent interpéler leur parlement national et la question remonte au parlement européen. Ensuite il favorise les compromis, acceptables par tous. Cette notion de compromis à été trop négligée par les décideurs européens. Puis le dernier avantage d'un régime parlementaire est qu'il fournisse une socle commun autours de valeurs et de principes plutôt consensuelles, un dénominateur commun. La IIIème République qui fût un régime parlementaire et a permit de nombreuses et grandes avancées. C'est un système qui marche et qui peut être une source d'inspiration pour l'Europe. Nous ne voulons plus d'une Europe authoritaire. Avec une large par d'autonomie qui revient aux États membres, les conflits, tel que le dumping social, se trouveraient arbitrés par la majorité des Européens. Des questions tels que le droit à l'avortement serait une competence national et l'Europe n'aurait rien à y redire. Nous n'imaginons tout simplement pas les institutions fédérales US légiférer sur ces questions. Ce sont des compétences des Etats. Pourquoi n'est-ce pas pareil en Europe ? Nous pourrions avoir la chance de pouvoir passer d'un système où règne les banques et le grand capital à un système basé sur des principes moraux et d'équité entre peuples. Chaque peuple doit avoir le droit de choisir son système économique, le socialisme par exemple, et l'ensemble européen doit être cohérent. Dans mon système le parlement européen doit écouter serieusement chaque parlement national, il doit faire des efforts et chercher le concensus, car s'il fache trop de députés nationaux, le véto au niveau européen peut l'emporter.

Il faut distinguer les compétences européennes et nationales. Il faut préférer le niveau national sauf quant l'unité est vraiment utile et souhaitable. Il faut reconnaître la primauté du principe de subsidiarité, mais reconnaître le principe de suppléance quant-il le faut. Si je souhaite que les questions écologiques soient européennes, car elles sont vitales pour notre future et celle de nos enfants. Je ne suis pas du tout d'accord pour que l'Europe légifère et encore pire interdise l'avortement. Cette dernière question doit être une compétence nationale. Il faut une procédure parlementaire, qui inclut le parlement européen et les parlements nationaux, pour designer le niveau de compétence des sujets et ainsi garantir certain sujets comme compétence européenne ou nationales.

Une idée interessante, comme droit des Etats membre serait de pouvoir imposer un referundum européen, sur initiative citoyenne. Les citoyens d'un Etat membre peuvent imposer aux autres leur référendum. L'idée est de donner des droits aussi bien aux citoyens qu'au peuples.

Pour que les citoyens comprennent mieux l'Europe, une chaîne de télévision européenne est souhaitable. L'intelligencia européenne pourrait s'y exprimer et débattre. La démocratie de débat pourrait être une source séduisante d'inspiration. Cette chaîne de télévision montera l'actualité européenne et des européens, qui nous manque cruellement. Cela permettrait de mieux nous connaitre, ce qui nous rassembles, nous différencie.

Les peuples ont été dépossédés de leur pouvoirs. L'expression de la volonté générale des peuples d'Europe n'existe pas ou fonctionne très mal. C'est en rendant le pouvoir aux peuples que nous réglerons les crises économiques et morales. L'Europe de doit plus être une extension des pouvoirs patronaux et des banques, mais doit représenter ses peuples.

Une commission trop forte ne bénéficie pas de la légitimité que leur accorde les peuples, qui ont une culture démocratique orienté vers la nation. C'est justement en permettant aux peuples de s’exprime et d'être sérieusement écouté, en favorisant le consensus/compromis, que la commission bénéficia d'une réelle légitimité. Le régime parlementaire que je propose est une bonne chose pour cette légitimité. Je propose que les commissaires soient élus individuellement et restent responsable devant les parlements, et soient élus de manière à favoriser les consensus/compromis. Le centre du pouvoir doit appartenir aux parlements. C'est ainsi que l'Union Européenne bénéficia d'une réelle légitimité. Poser la question d'un régime parlementaire, c'est poser la question de la stabilité de la commission. Bien sûr le but n'est pas de créer une commission instable mais de favoiriser le concensus/compromis. Si les commissaires sont élus, et sont responsable devant les parlementaires, de manière adequat, la commission fera emmerger le concensus/compromis et ne sera pas instable. Mais bon une commission instable est un moindre mal. La troisième République a bien réussit à se gouverner.

Il faut des procédures qui permettent de garentir l'autonomie des Etats membres. Nous avons deux principes, celui de subsidiarité et de complementarité. Il faut privilégier le principe de subsidiarité sur l'autre dans la constitution. Il faudra négotier tout ça.

Les commissaires sont élus un par un de manière à encourager les personnalités concensuelles et éviter une trop grande instabilité. La procédure de vote se fera à plusieurs tous tel que si un candidat arrive dernier deux fois de suite, il est éléminé. Un tous se faisant entre l'assemblée européenne et l'assemblée des peuples. Si un parlement national vote contre un candidat au 3/5ièmes, il est éliminé sauf si un parlement national vote pour lui aux 3/5ièmes.

Je propose que l'assemblée nationale (ou tout autre Parlement national) fasse un putch démocratique. Elle peut rediger une requête visant à modifier ou proposer une directive européenne. C'est une provocation. Les requêtes vont se multiplier et engendrera une crise au sein du parlement européen. Il faudra bien des changements juridiques ! Parfois il faut savoir secouer le cocotier.


e. Les garantes de l'autonomie des Etats membres et pouvoir national.

« La République c'est le droit de tout homme, quelle que soit sa croyance religieuse, à avoir sa part de la souveraineté. » Jean Jaurès

L'Union européenne est gouvernée par deux principes. Le principe de subsiduarité, qui est l'autonomie des Etats Membres. Et le principe de complémentarité, qui est le niveau fédéral. Pour qu'un sujet relève du principe de complémentarité, il faudra qu'une majorité de parlements nationaux votent pour. Mais un parlement national peut s'y opposer par un vote aux 3/5ièmes. Cependant nous n'allons pas nous laisser gouverner par le Luxembourg. Un autre parlement national peut prendre le contre pied avec un vote pour aux 3/5ièmes. La même chose se produit avec deux, trois parlements nationaux et ainsi de suite. Si la limite des 1/3 de parlements nationaux votent contre aux 3/5ièmes le sujet relève automatiquement du principe de subsituarité.

Par un vote au 3/4ièmes un parlement national peut imposer un référendum à tout les européens, la loi constitutionnel ou organique peut être amandée par l'assemblée des peuples et doit être approvée par ce parlement national. Le référendum se tiendra le jour de l'éléction européenne. Selon la même procédure mais par une initiative citoyenne, un référendum peut être proposé au parlement européen.

Les commissaires sont révocables un par un par un parlement national au 3/5ièmes sauf avis contraire d'un autre au 3/5ièmes et ainsi de suite avec deux, trois parlement nationaux. Un commissaire est automatiquement révoqué s'il ne dispose pas de la majorité à l'assemblée des peuples et s'il ne dispose pas d'une majorité de parlements nationaux.

L'assemblée des peuples peut dissoudre l'assemblée européenne et demander la tenue de nouvelles élections, par un vote au 3/5ièmes compronnant un vote positif dans une majorité de parlements nationaux.

Quel que soit la décition ou la non décision d'un parlement euopéen, une incitative citoyenne peut s'y supplanter en organisant un référendum. La procédure est plus longue, le même jour qu'une éléction nationale. Si cela n'est pas possible un seul jour de vote spécifiquement référendaire doit être organisé par année.


f. Mise en place du traité-constitutionnel

« La République c'est le droit de tout homme, quelle que soit sa croyance religieuse, à avoir sa part de la souveraineté. » Jean Jaurès

Une commission constitutionnel doit être mise en place dans l'actuel parlement européen, futur assemblée européenne, qui associera les parlements nationaux. Il faut chercher le compromis le plus large possible de tous ceux qui respectent les peuples, y compris les souverainistes et les fédéralistes. Bien sur des principes fondamentaux doivent être dit : une constitution se modifie, elle n'a pas d'aspect économique et ne consèrne que la constitution. Le nouveau traité se substitue aux autres après basculement dans la fédération européenne et les parties non pris en comptes deviennes des directives organiques. Ensuite elle doit être ratifié par le conseil des ministres, la commission et le parlement européen. Ce traité-constitutionnel doit garantir immédiatement des droits nouveaux aux parlements nationaux, dès sa ratification et basculera dans une fédération européenne après l'approbation de tous les nations. Après un délais de reflexion d'au moins un an, les premiers référendums pourons se tenir. Ce traité-constitutionnel devra impérativent être ratifié par référendum. Après la durée de reflexion de un an, une nouvelle durée de cinq ans s'installe, suite à quoi si tous les Etats membres n'ont pas ratifié le traité-constitutionnel, nous basculerons dans la fédération européenne. La ratification du traité-constitutionnel par un Etat membre abroge les traites anterieurs lors du basculement. Les référendum peuvent se poursuivre après, par les Etats membre qui sont restés dans UE. Ce basculement ne laissera qu'un pouvoir limité (assemblée européenne) aux Etats membres qui sont encore dans UE sur toutes les directives (mêmes ceux issus de traités antierieurs). Le traité-constitutionnel est le même pour tous, et ne peut être modifié qu'une fois le basculement effectué. Toutefois après le delais de un an, les membres de la zone euro ont un an pour ratifier le traité-constitutionnel sans quoi leur autorité ne sera plus que parciellement reconnue (assemblée européenne). Le nouveau traité-constitutionnel abrogeront les anciens traités de la zone euro à ce momant là.

f. Un régime parlementaire bicaméral.

f. Conclusion.

« Ce n'est que par la libre fédération des nations autonomes, répudiant les entreprises de force et se soumettant à des règles de droit, que peut être réalisée l'unité humaine. » Jean Jaurès

Je me conçois comme autonomiste, un eurosceptique modéré. Je suis un autonomiste européen sans être un souverainiste. Les eurosceptiques et les fédéralistes dises de bonnes choses et ont tous deux une part de raison. J'ai voté « NON » au traité de Maastricht. Ce traité constitutionnel ne laissait pas les États faire du social. Celui-ci dit ce traité était foncièrement anti-démocratique. Le fait de ne pouvoir être réformé que très difficilement le rendait catastrophique. Le « NON » a gagné, et la crise souhaité n'a pas eu lieu. Cette crise qui aurait été la voix du peuple aurait pu produire une meilleur constitution. Je n'ai pas de raison de voter pour un texte avec le quel je ne suis pas d'accord et où les concession demandées qui me semblent sont abusives. Il était possible et est toujours possible d'écrire une constitution acceptable du grand nombre. Cette « fédération européenne » ressemblerait à ce que j'ai décrit. Elle permet au divers mouvements de défendre leur idées (des demandes d'autonomie, de politique sociale) au sein des institutions européennes. Demander une large autonomie permet aux nations d'appliquer leur propre politique.

Je suis favorable à un compromis autonomiste avec les fédéralistes et les souverainistes. Mon Europe parlementaire est sans doute le meilleur compromis possible. Une Europe fédérale centralisé et autoritaire est catastrophique et 'a pas de sens. L’Europe des régions n'a d'autre consequence que de déchiqueter nos beaux pays. Elle n'est ni une réalité sociologique et ni une identité et finira dans l'oublie. Si mon Europe réussit, l'Europe des régions deviendra inutile. Les différents entre autonomies et fédéralistes, sont destinés à être arbitrés au sein des institutions européennes, de manière parlementaire et avec les citoyens et peuples comme arbitres. Parler de régime parlementaire c'est risquer l'instabilité politique de la commission. Mais je m'en fout. La troisième République a réussit à se gouverner !

Les peuples doivent reprendre le pouvoir en Europe face aux banques et au grand capital. Il faut de nouvelles règles, il faut que les peuples aient un réel pouvoir. Il faut donc que l'Europe se démocratise et dévienne réellement fédérale et parlementaire. L'Europe doit devenir l'expression de la volonté de ses peuples, un rempart contre le liberalisme sauvage. Je suis pour L'Europe des peuples et contre l'Europe des banques et du grand capital. L'Europe tel qu'elle fonctionne est une escroquerie. Dans la pratique elle n'est pas du tout démocratique. Il faut se battre pour que les peuples puissent enfin la gouverner. C'est le meilleur rempart contre les violences économiques et la concurence anti-sociale. Nous devons promouvoir les droits individuels et collectifs des parlements nationaux. Aucune concession sur ce point n'est acceptable. Rendons l'Euurope aux peuples et faisons vivre l'expression de la générale volonté. Et une constitution européenne doit faire explicitement référence à la déclaration des droits humains de l'ONU, en affirment que tout les articles sont importants.



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Dernière modification le vendredi 04 septembre 2020 à 19H49